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Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~]

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Lawrence Heaven JuliusMessages : 4
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Lawrence Heaven Julius


Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] Vide
MessageSujet: Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] I_icon_minitimeDim 27 Fév - 21:06

[N.B.: Ce Rp se passe environ 50 ans avant.]

Ne vous êtes vous jamais réveillé un matin avec une impression de vide immense? Un vide si intense que toute votre âme entière vous fait souffrir? Je m’étais réveillé ce matin-là, nu comme un ver dans un lit que je n’avais jamais aimé, avec une vie que je n’avais jamais apprécié vivre. J’avais pris la décision de ne plus ressentir ce mal, ne plus rien endurer, ne plus m’obliger à respirer… J’allais me donner la mort avant le prochain lever de soleil. Mes mains allaient sûrement rester souiller de sang en enfer, car une chose était encrer dans ma tête : je n’allais pas aller au paradis, mais je ne méritais de me réincarner alors j’allais être condamné de passer le reste de mon éternité en enfer. Cet endroit me semblait plus accueillant que mon enveloppe corporelle, plus jouissant que le plaisir de la chair et mille fois meilleur que la sensation du sang d’un autre contre sa peau. On m’avait dit, jadis dans ma tendre enfance, que le suicide était un acte lâche, un acte qui ne ramène qu’au point de départ, qui nous ferait revivre la même chose, mais je n’y croyais pas un seul mot. Ce donné la mort en soi était un acte complexe, mais ce n’était ni un meurtre, ni une preuve de lâcheté, au contraire, c’était une preuve que l’on se respectait et que l’on ne voulait pas continuer de vivre une vie indésirable et qui ne faisait que nous détruire.

Donc, j’étais partit de chez moi une lame de rasoir en main et je m’étais rendu jusqu’à la rivière où mon seul amour et moi avions l’habitude de passé nos journées à se faire la lecture. Pourquoi cet emplacement plein de souvenirs? Pour me souvenir ce qu’était la souffrance une fois perdu dans le néant. Je repensais à tout, à tout sauf à ma mère, elle ne méritait pas mon dernier souffle de vie, car elle, elle était trop lâche. Père, toi que j’avais aimé un temps et qui m’avait fait dégoût le jour ou je compris que tu ne m’aimais pas, que je n’étais qu’un défoulement pour toi. Alors ce jour j’étais parti en pensant ne plus jamais revenir vers toi, mais avant de m’enlever ce que tu m’avais donné dans la violence et la cruauté je voulais te revoir, alors j’étais venu. Je t’avais tué père, tué dans l’horreur, tué dans ce que tu méritais. Je t’avais d’abord susurré des mots tendres, mais délétères. Qu’elle était la sensation de baigner dans ton sang père? N’étais-ce pas là une belle sensation? Chaude et accueillante liqueur au goût de vie? Celle que tu me faisais vivre. Oui tu ne méritais que ce traitement père. Je m’étais ensuite nourris de toi et je m’étais laver avec toi, ton sang mélangé avec ma saleté, ton sang plus impur que n’importe quoi je l’avais bu, je l’avais purifié de mon corps. Mon cher paternel tu étais mort dans la misère et la souffrance, toi qui m’avais désenchantée de la vie, de l’amour, de la tendresse et de toutes ses belles choses que plus jamais je ne pourrais connaître. Toi qui aujourd’hui me faisais confirmer mon choix de mort! Toi que je méprisais plus que la vie elle-même! Toi et les autres qui me tuaient, qui me conduisaient tranquillement au néant, en enfer. Vous tous qui m’avaient détruit! Vous ne méritez que mort, que souffrance, que misère et que malheur! En espérant que ma mort vous hante jusqu’à votre mort d’après, jusqu’à votre réincarnation, jusque dans les profondeurs de la Terre!

Un vent chaud était venu caresser mes cheveux, un vent brûlant, plus encore que celle que mon bras entier me procurait. Je sentais la lame transpercer ma peau, commencent par le creux de ma main et descendant en ligne droite jusqu’au plie de mon coude. Mes yeux contemplaient la plaie, grande ouverture rouge et blanche, le rouge qui me rappelait ma vie lamentable et le blanc qui me rappelait la douceur des meurtres commis. Le froid s’emparait de moi, devant le souffle démon de la mort j’avais fermé les yeux et j’avais ouvert une porte. Une porte noire, à la peinture écaillée et à la serrure rouillée. Diminuer l’obscurité de mon être je souriais pour la première fois depuis longtemps, l’enfer était devant moi et une puissance incroyable s’emparait de mon âme, la noircissant encore plus que jamais. Donnait excessif l’envie du sang, l’envie de posséder la chair d’un autre. Accentuait mes goûts de violence et ma soif de cruauté. Mes va allaient devenir des vient et mes vient allaient se transformer en va, j’allais être une âme qui savait ce qu’elle voulait ; la souffrance de la mort pure, le sang de la cruauté et les ecchymoses de la violence. Les ombres allaient devenir mes alliés, le noir, lui, mon meilleur ami.

J’entamais une marche de liberté dans un nouveau lieu, dans ma nouvelle et dernière vie. Toujours les yeux fermés je n’écoutais que mes pas qui résonnaient sur les murs du couloir que je logeais, j’ignorais ou je devais aller, mais cela m’étais complètement égale, j’étais prêt à vagabonder dans ses couloirs sombres toute l’éternité, car ce que je restais en ce lieu était magnifique et plus personne ne pourraient m’enlever ces sentiments nouveaux ou intensifiés. Plus rien ne pourrait aller mal, plus rien ne pourrait m’arrêter, j’étais de nouveau puissant et en contrôle de moi-même. Un bruit de goutte s’écrasant sur le sol me fit prendre conscience que ma blessure était encore saignante. Je portai ma large ouverture à la commissure de mes lèvres et commençai à lécher ma blessure qui ne me procurait plus aucun mal. D’autres pas se faisaient entendre devant moi, se mélangeaient aux miens pour créer une harmonie parfaite. Je m’arrêtais, mais les pas, eux, continuaient leur avancer vers moi…? J’ouvris les yeux pour la première fois, pour découvrir une silhouette riche et virile qui s’arrêtait devant moi, je ne distinguais qu’une fine ombre, mais ce qui se dégageait d’elle était d’une force redoutable, elle ne pouvait être rien de plus que…

- Satan.

Ma voix était assurée, je ne pouvais me tromper. Mon sourire s’élargit, j’étais donc vraiment en enfer? Quelle joie, je ne pouvais demander mieux, tout mes vices les plus pervers allaient être ici, du sang j’en aurais, de la violence aussi… J’étais atterri dans mon paradis obscur. Je continuai de nettoyer ma plaie en attendant une réplique quelconque de l’homme ou devrais-je dire Du Diable qui se trouvait devant moi. Une question me vint alors à l’esprit : Pourquoi avais-je droit à un traitement si spécial de rencontrer le maitre de ses enfers en personne? Je ne voyais pas ce que je pouvais avoir de plus que les autres pour ne pas me retrouver dans un cachot ou sur une table de torture à attendre un traitement digne du nom de ces lieux. Pourquoi, moi particulièrement, ne suis-je pas enchainé par les pieds et la tête vers le sol à patienter que mon sang commence à me couler des oreilles?

- Pourquoi dit-on, sur Terre, que l’enfer est l’endroit par excellence, pour les gens qui ont fait souffrir, de vivre ce que l’on a fait aux autres?

J’avais peut-être une réponse, une hypothèse : Parce que personne ne revient des enfers et que personne n’est aussi tordu que moi pour m’adresser ainsi au diable. Mais je ne voyais pas pourquoi tout le monde tremblaient devant son nom, pourquoi les gens inventaient des horreurs à son sujet, pour ma part il ne me faisait pas frissonner ce Lucifer. Je l’avouais, sa carrure était impressionnante, mais de là à dire qu’il n’était la que pour te refaire vivre les souffrances que tu avais faite aux autres, minute. Je partis d’un rire sonore.

- Ce qu’ils sont bêtes les humains pensant que l’enfer est la pour faire souffrir! Ahah! Mais je suis sûr Ô Grand Diable que tu as du bon! Ahah!

Il n’allait peut-être pas me trouver drôle, mais il fallait être un peu beaucoup atteint pour comprendre mon humour… Alors je m’attendais à recevoir une belle claque de la part de mon invisible d’en face.
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Andrew Williams ColeMessages : 29
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Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] Vide
MessageSujet: Re: Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] I_icon_minitimeMer 9 Mar - 11:06

[HRP : J'espère que ça va te plaire... J'ai du mal à pas faire de faute, depuis hier.. Pis euh... Ben comme j'écris pas souvent... =.= Bref... J'espère que ça va savoir faire ton petit bonheur ! Very Happy]

« Regardons un plafond que nous avons regardé un nombre de fois tout à fait incomptable, encore. Fixons-le, comme s'il décellait un secret immense et inavoué. Sondons-le, comme s'il allait nous donner la réponse à une question existencielle, comme s'il allait nous dire une chose insoupçonnée. » Je marmonnais, tranquillement et paisiblement en fixant ce stupide plafond. C'était ridicule ! Ce plafond était noir, vide de toute réponse et sans aucune importance. Cette chambre était vide et sentait la poussière qui s'accumulait, parce que je ne sortais plus d'ici et que je ne laissais entrer personne, pas même la femme de ménage. Je me disais que, de toute façon, ça ne changeait pas grand-chose, j'étais en train de prendre la poussière aussi. Je décallai ma tête, quelque peu vers la droite, et je fixai l'horloge accrochée au mur. Elle était neuve, encore, hier je l'avais brisé parce que j'en avais marre de son perpetuelle « Tic-Tac ». Je trouvais ça tellement irritant ! C'était comme si elle me disait : « Tu vois, mon bel Andrew... Je suis ici, à chaque jour, à chaque seconde de ta misérable existence et je suis là pour te rappeler que le temps est long ! » J'avais envie de la réduire en miettes, encore et encore ! Je me levai d'un bon, décrochant l'horloge sans le moindre effort, avant de la fracasser contre le sol.

- C'est bientôt terminé !? Tu vas cesser de me le rappeler ! J'en ai marre de t'entendre ! Marre !

J'écrasai le « Tic-Tac », d'un bon coup de talon et je me dirigeai à la porte de ma chambre avant de sortir et de la claquer avec violence. Il m'arrivais de me demander pourquoi personne n'osais jamais m'aborder, mais quand je me voyais agir ainsi, je le comprenais parfaitement. Ça faisais des années que je n'avais pas eu de discussion, autre que concernant une mort prochaine, avec quelqu'un. J'avais envie de vivre, envie de retrouver une condition... Humaine. C'était bien ridicule, comme réflexion, mais pourtant je pouvais jurer sur Dieu que la vie humaine pouvait être bien plus belle... Avant. Le monde changeait et changera toujours, mais il fût un temps où vivre était doux. Il ne fallait pas attendre de se faire arracher le coeur, il ne fallait rien attendre pour vivre ! Néanmoins, tant que la vie n'était pas terminée, tant que nous n'étions pas au pied du mur à regarder la mort dans les yeux... C'était difficile de réaliser que la vie ne tenait qu'à un fil et que... C'était moi qui tenais les « ciseaux ». C'était moi, encore et encore, qui décidait du sort de milliers et de milliers de vulnérables petits humanoïdes. La vie était fragile, les humains étaient faible et je me faisais un plaisir d'en faire une immense collection.

Je m'engouffrai, d'un pas lent, dans le couloir. J'avais de la visite, une merveilleuse arrivée. Je sentais avec plaisir son pouvoir, sa puissance. C'était drôlement jouissif. J'en venais à penser à ma vie d'avant. Je pensais et repensais à ce qu'était ma faiblesse humaine, hésitant entre l'envie de l'être et l'envie de ne plus l'être. Le deuxième « souhait » étant déjà éxaucé, depuis des années... Je me postai à quelques mètres de lui, le regardant en ne projetant qu'une ombre imposante, sentant mon manteau se recoller à moi. Il était beau, très attirant. Il était puissant, c'était lui, mon ange des ténèbres. J'avais retrouvé le mien, avant Dieu... Avant son retour, avant de devoir revoir son visage de saint. Je serrai les dents et les poings, retournant à mon envie de le réduire en lambeaux de chaire et de boyaux. Je souris, me voyant refleter dans son sang qui coulerait autour de moi, souillant mes chaussures, mes mains... Ah ! Je ricanai doucement, écoutant le jeune homme qui venait d'arriver et qui, déjà, releva ses yeux vers moi en devinant très bien qui j 'étais.

- Satan ? On peut dire cela, oui... Appelles-moi Andrew, je te prie. Pas besoin de politesse entre puissance. Tu as droit à ce traitement de faveur, parce que tu n'es pas comme les autres, Lawrence. C'est bien ton nom, détrompes-moi.

Je souris, laissant mes yeux écarlates reluirent dans le noir où je me trouvais. Il ne semblait pas effrayé, ni même nerveux. Il avait même tenté une « blague ». Je ne ris pas, pas du tout, mais je ne fûs pas vexé, miraculeusement.

- Moi ? Du bon ? Peut-être bien, oui. En attendant, mon beau Lawrence, je te montre tes appartements ? Ils sont annexés aux miens, j'espère que ça ne te gêne pas... J'ai parfois de drôles d'envies, durant la nuit...

J'éclatai d'un rire sonore, peu rassurant et qui se cogna aux parrois du corridor dans un écho digne d'un film d'horreur. Je m'avançai un peu plus vers lui, me retrouvant derrière en un coup de vent. Je posai une main contre son épaule que je serrai un peu.

- Hmm..?

Il fallait dire que ça avait beau lui causer tous les problèmes du monde, ça n'allait pas changer grand chose. Je rigolai à bouche fermée.

- C'est que tu es vraiment, vraiment mignon. Non, pas mignon... Ça ne colle pas... Tu es plutôt sexy. Un vrai petit chéri diaboliquement sexy. Je crois que... Je te mangerais, Lawrence. Oh, oui...

Je décidai de passer mes mains à ses hanches, comme de rien. Il était ferme, une vraie taille forte et dure. Un homme, un vrai... Comme ça me manquait. Je me collai rapidement à lui, me demandant jusqu'où j'allais pouvoir aller sans qu'il ne m'arrête. Je commençai à avancer vers ses appartement, gardant cette position en le forçant à avancer. Il fallait que je l'y amène, de toute façon. Il n'y avait rien de mal à être un peu collé... C'était une simple question de « précaution »... Ou de perversion ! Ha ! Ha ! Ha !

Nous croisâmes quelqlues demons sur le chemin qui ne manquèrent pas à nous regarder drôlement. Je m'arrêtai, devant la porte de ses appartements en mordillant la peau de son cou avec une certaine aviditié.

- Voilà, c'est ici. La porte à ta droite est celle de mes appartements. Si tu as besoin de quoi que ce soit... Hmm... Tu est vraiment délicieux, toi...

Je soufflai contre son cou avant de me reculer dans un geste rapide et sec, m'adossant au mur pour le toiser. Il fallait faire « comme si de rien était », non ?
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Lawrence Heaven JuliusMessages : 4
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MessageSujet: Re: Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] I_icon_minitimeLun 28 Mar - 20:43

Les paroles de Satan qui se disait Andrew ne tombèrent pas dans l'oreille de sourd et encore moi dans l'oreille d'un homme sans mauvaises intentions - en mettant beaucoup d'intensité sur le pluriel de «mauvaiseS intentionS» -. J'allais m'entendre à merveille dans ce nouvel environnement qui m'étais déjà famillier, peut-être un peu trop, mais cela ne semblait pas affecter le maitre de ses lieux sombres. La pression sur mon épaule me fit un peu frissonner, la proximité de nos deux corps n'aidait pas à ceux-co. J'avais été longtemps sans cette chaleur corporelle, sans cette odeur de chair. Et plus on attendait meilleur s'était disait-on? Alors cette baise allait être une des meilleures de ma vie!.. Vie... Je ris seul un instant avant de me reprendre.

- Me manger? Et Satan mangea un pauvre humain qui descendait tout juste aux enfers, quoi de plus digne pour un maitre démon! Aller Andrew, mange-moi cuit, cru, comme tu le désiras, je ne peux désirer mieux de toute façon. Pourquoi? Tout simplement parce que si tu le fais petit Satan je vais mourir d'une façon que j'adore... Pratiquer plus que de me faire faire, mais tout de même. C'est agréable se faire... «Manger» et dans tout les sens que le terme peut prendre.

Je souris à Satan, il était pas mal mignon je devais l'avouer... Oui mon envie grandissait de plus en plus dans mon pantalon. Il caressa mes hanches, je ne pus m'empêcher de coller encore plus nos deux âmes, frôler son pantalon de mes fesses, lui donner un avant-goût de ce qu'il pourrait peut-être avoir avec un peu de fermeter sur moi. Il me força à avancer jusqu'à la porte qui m'indiqua comme étant celle de ma chambre, plutôt banale comme porte... Je m'attendais à quelque chose de mieux, surtout qu'il disait que j'avais droit à un traitement de faveur.

- Revenons sur tes paroles. En quoi suis-je plus «important» plus «unique» qu'un autre humain qui descend ici? Bref, qu'ai-je fait pour avoir droit à des faveurs de ta part?

Il me présenta la porte de sa chambre à lui alors qu'il commença à mordiller mon cou, je fermai les yeux sous le long frémissement que ceci me procurait.

- Mmm j'ai bien noté, donc si moi aussi j'ai des petites envies durant la nuit j'ai droit de venir te déranger?

Je ne me sentais pas dans l'obligation de le vouvoyer... Peut-être devrais-je le faire? Il me le dirait sûrement si ça lui déplaisait, pour l'instant il s'éloignait de moi avec un air de «il ne s'est rien passé du tout...».

- Hum tu es un drôle de personnage. Mais... Nous devons tous l'être ici, n'est-ce pas charmant Satan?

Oui j'aimais bien les rimes et les choses logique et je venais de me faire deux pour le prix d'un! Bravooo Lawrence! On sort la champagne - Miam champagne - et on arrose le tout! Je decidai de me laisser glisser contre la porte de mes appartements et je fixai mon regard dans le sien. Je pourrais sans doute passer des heures à le regarder, son air de puissance, de supériorité me donnaient envie de lui sauter dessus, de lui arracher tout ses vêtements et de le violer la, dans le corridoir, devant tout ses gens qui pouvaient passé.

- Et maintenant que tu n'as rien fait, que fait-on de plus en enfer?
 
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MessageSujet: Re: Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~] I_icon_minitime

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Acte I. Première rencontre. [Pv Satan~]

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